Et si tout ce qu’on racontait sur les cheveux blancs était faux ?
récit
Les possibles _ Virginie Grimaldi
Juliane n’aime pas les surprises. Quand son père fantasque vient s’installer chez elle, à la suite de l’incendie de sa maison, son quotidien parfaitement huilé connaît quelques turbulences.
La papeterie Tsubaki
Venez plonger au coeur d’une papeterie japonaise et faire connaissance avec Hatoko, écrivain public.
La chatte _ Colette
Lorsque débute leur vie commune, Alain et Camille sont deux amis d’enfance que tout en apparence rapproche mais que leurs secrètes rêveries divisent.
L’île aux enfants _ Ariane Bois
Pauline, six ans, et sa petite sœur Clémence coulent des jours heureux sur l’île qui les a vues naître, la Réunion.
Une nuit après nous _ Delphine Arbo Pariente
Cette histoire nous entraîne sur les traces d’une femme, Mona, qu’une passion amoureuse renvoie à un passé occulté.
Le moulin de Pologne _ Jean Giono
Moulin de Pologne, pourquoi ce nom ? Personne n’en sait rien. Les uns prétendent qu’un pèlerin polonais allant à Rome s’établit jadis à cet endroit-là dans une cabane.
Le parfum des fleurs la nuit
Résumé Comme un écrivain qui pense que « toute audace véritable vient de l’intérieur », Leïla Slimani n’aime pas sortir de chez elle, et préfère la solitude à la distraction. Pourquoi alors accepter cette proposition d’une nuit blanche à la pointe de la Douane, à Venise, dans les collections d’art de la Fondation Pinault, qui ne lui parlent guère ? Autour de cette « impossibilité » d’un livre, avec un art subtil de digresser dans la nuit vénitienne, Leila Slimani nous parle d’elle, de l’enfermement, du mouvement, du voyage, de l’intimité, de l’identité, de l’entre-deux, entre Orient et Occident, où …
Un pied au paradis _ Ron Rash
Oconee, comté rural des Appalaches du Sud, début des années 1950. Une ancienne terre cherokee, en passe d’être à jamais enlevée à ses habitants : la compagnie d’électricité Carolina Power rachète peu à peu tous les terrains de la vallée afin de construire une retenue d’eau, immense lac qui va recouvrir fermes et champs. Holland Winchester est mort, sa mère en est sûre, qui ne l’a pas vu revenir à midi, mais a entendu le coup de feu chez le voisin. Ce drame de la jalousie et de la vengeance, noir et intense, prend la forme d’un récit à cinq voix : le shérif Alexander, le voisin, sa femme, leur fils et l’adjoint.
Les jours de mon abandon
Olga, trente-huit ans, un mari, deux enfants. Un bel appartement à Turin, une vie faite de certitudes conjugales et de petits rituels domestiques. Quinze ans de mariage. Puis, un après-midi d’avril, une phrase de son mari met en pièces cette existence sereine et transforme Olga en femme abandonnée. Une femme rompue. Lâchée, brisée. Una poverella, comme cette voisine de son enfance napolitaine dont elle croit encore entendre les pleurs la nuit. Frappée de stupeur, Olga ne comprend rien au prétendu » vide de sens » de l’homme qu’elle a suivi à Turin, et pour qui elle a abandonné l’écriture. L’homme avec qui elle voulait vieillir est devenu l’homme qui ne veut plus d’elle. Olga n’existe plus. Ou seulement dans sa lente déchéance, dans cette descente aux enfers où la terre semble se dérober sous ses pieds, et les événements se liguer contre elle
Le fabuleux voyage du carnet des silences
Monica a abandonné sa carrière d’avocate pour réaliser son rêve : ouvrir un café sur Fulham Road. Pourtant, elle sent qu’il lui manque quelque chose d’essentiel. Le jour où elle découvre sur une des tables un étrange cahier intitulé « Le Carnet des Silences », sa vie bascule. Les premières pages lui révèlent l’émouvante confession de Julian Jessop, un artiste excentrique, agé de soixante-dix-neuf ans qui exprime toute sa tristesse et sa solitude depuis la mort de sa femme. Touchée par cette idée de révéler ses sentiments profonds à des inconnus, Monica décide de continuer le carnet en avouant son désir d’enfant, avant elle aussi de le déposer pour qu’il trouve un nouveau propriétaire. Au risque de voir son destin et celui des autres personnages bouleversées de manière inattendue…