Aujourd’hui, les américains célèbrent une des fêtes les plus importantes dans leur pays : Thanksgiving. Cette fête trouve ses racines lorsqu’en 1620 le Mayflower accoste sur les côtes des Etats-Unis. A bord de ce navire se trouvent les Pères-Pèlerins. Ils ont fui l’Europe pour y vivre leur religion librement. Alors que le premier hiver s’avère très rude, les améridiens leur offrent de la nourriture et leur apprennent à chasser et à cultiver le maïs. L’hiver suivant, les pères-pèlerins organisent un immense banquet pour remercier Dieu de leur avoir donné d’importantes récoltes durant l’année.
A cette occasion, j’ai recherché des romans qui se déroulent durant cette période, autour des années 1620. Ce ne fut pas chose aisée car il n’y a finalement que peu de romans qui traitent de cette période. Voici ceux qui ont retenu mon attention.
1. Le Mayflower : L’odyssée des Pères pèlerins et la naissance de l’Amérique
Automne 1620. Les 102 passagers du Mayflower débarquent sur les côtes américaines. Affamés, craintifs, mais forts de leur foi, ils entrent en contact avec des tribus indiennes de la région, elles-mêmes fragilisées par les maladies et les conflits fratricides. Que s’est-il vraiment passé ? Nathaniel Philbrick nous restitue les portraits et les épisodes, restés totalement inconnus, des cinquante-cinq premières années de cette épopée à la fois tragique et héroïque. (source J.C Lattès)
2. En route vers le nouveau monde
Roman jeunesse, En route vers le nouveau monde retrace l’histoire d’Esther, une jeune fille de 12 ans. Elle embarque direction les Etats-Unis à bord du Mayflower. Son voyage doit durer 40 jours et c’est à travers son journal que le lecteur peut retracer les différentes étapes de son périple.
3. Constance. Journal d’une jeune fille aux premiers temps de la Nouvelle-Angleterre
C’est de nouveau un roman Jeunesse. Nous suivons ici Constance en novembre 1620. Les passagers du Mayflower atteignent l’Amérique. A son bord, Constance regrette déjà Londres. Dans son journal, elle raconte la famine, les ravages du scorbut, la peur des Indiens et la brutalité des premiers bâtisseurs de la Nouvelle-Angleterre.
4. Faubourg des Amériques
Georges Walter, contrairement à ce que laisse penser son nom, était un auteur français. Dans ce roman, nous suivons un scénariste qui souhaite faire un film sur le Mayflower. Il imagine alors les drames, les angoisses, les divisions qu’engendre une traversée de soixante six jour.
Je ne connais pas ces bouquins et ma mémoire à trous ne me permet pas d’en trouver d’autres même si j’en ai lu…