Résumé
Un été dans la ville de l’amour.
Pour célébrer leur vingt-cinquième anniversaire de mariage, Grace a prévu une surprise de taille pour son mari : une escapade romantique à Paris. Mais ce dernier lui a aussi réservé une annonce surprise : il souhaite divorcer. Dévastée par la nouvelle, Grace fait ses bagages et s’envole, seule, pour la capitale.
Lorsqu’Audrey quitte Londres pour la France, c’est avec la ferme intention de s’éloigner d’une mère alcoolique. Son objectif : dégoter un job dans une librairie et se familiariser avec le french kiss. Seulement, avec la barrière de la langue et sans argent, ses projets paraissent plus compliqués qu’elle ne le pensait.
La rencontre entre les deux jeunes femmes va alors tout changer. Et leur amitié naissante, bien que surprenante, pourrait bien devenir la meilleure chose qui pouvait leur arriver…
Mon avis
Un titre qui en dit long
Un été dans la ville de l’amour porte bien son titre. Et j’aurais vraiment dû me méfier.
Quelle lecture … ennuyeuse !!! Je n’ai pas pris plaisir à lire ce nouveau roman, qui m’a été offert par NetGalley. Les romans à l’eau de rose ne sont vraiment pas ma tasse de thé!
Grâce, 47 ans, vient de se faire plaquer par son mari le jour de leur vingt-cinquième anniversaire de mariage. Elle avait prévu pour l’occasion un séjour d’un mois à Paris, c’est seule qu’elle partira.
Audrey, 18 ans, dyslexique sévère, part également à Paris pour fuir sa mère alcoolique, qui vient de se marier.
Toutes les deux vont se lier d’amitié et s’entraider. Grace aidera Audrey à reprendre confiance en elle en lui apprenant le français. Elle sera épaulée par Etienne, étudiant à la Sorbonne.
En échange Audrey aidera Grace à retrouver sa féminité et à sortir de sa zone de confort. C’est la raison pour laquelle son mari David l’a quittée. Grace prévoyait tout de A à Z sans laisser de place à la surprise ou au hasard.
En soi, les deux sujets traités (la dyslexie et la confiance en soi) sont intéressants. Mais l’auteure n’a pas su insuffler de dynamique à son histoire. Les chapitres, qui alternent les point de vue de Grace, Audrey sont longs et répétitifs. Une grosse partie du livre n’est que du « déjà-dit » et j’ai fini par survoler les chapitres afin d’aller à l’essentiel.
Je noterai tout de même que contrairement à ce que je pensais, on ne connaît pas la fin dès le début (contrairement à énormément de livres à l’eau de rose). C’est vraiment positif dans ce genre de lecture car il a au moins le mérite de nous surprendre.
Bien évidemment, une personne qui aime ce genre de littérature devrait l’apprécier. Je reste cependant persuadée que ça tire trop en longueur même pour quelqu’un qui apprécie les histoires d’amour.
Mes challenges
Cette lecture m’a permis de valider la catégorie 4 du nouveau challenge annuel. Un auteur dont le nom de famille est aussi un prénom.
Je publierai bientôt un article décrivant ce nouveau challenge, concocté par Linda.
[…] Un été dans la ville de l’amour est vraiment une romance niaise, qui a peu d’intérêt. On connait bien évidemment la fin […]