Cinquante-cinq jours de confinement à cause d’un virus dont l’écriture du génome fait huit pages alors que celui de l’homme en fait un million. Sommes-nous si peu de chose ?
Cinquante-cinq jours de confinement à cause d’un virus dont l’écriture du génome fait huit pages alors que celui de l’homme en fait un million. Sommes-nous si peu de chose ?